RTC Sports...
La base !

C'est là que tout a commencé...
Grâce à l'appui de Vincent Gernay d'IPEP Communication,
à la confiance de Jean-Louis Radoux et Jacques Mertens de RTC Télé Liège,
et à la complicité déjà existante, confirmée et jamais contredite de Francis Creuen
à la réalisation de 2004 à 2020.

Une confiance renouvelée ensuite à l'arrivée de la nouvelle direction, Philippe Miest et Philippe Malburny,
avec à la clé une plus grande inclusion dans la vie de la chaîne et de ses acteurs au quotidien.
Pour une suite d'aventures  et de complicités plus larges encore avec les journalistes, les techniciens,
Jean-Pierre, Benoît, Stéphane, Lara, Olivia, et j'en oublie (qu'ils me pardonnent)...

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RTC Sports, c'est d'abord une équipe

Des techniciens chevronnés, des caméra(wo)men passionnés aussi par leur métier, des journalistes appliqués... une team belle et dynamique avec laquelle je suis fier et heureux de collaborer depuis de longues années.

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et de belles rencontres

C'est ensuite une kyrielle de rencontres avec des sportifs, des responsables de clubs, des bénévoles, des supporters... tous plus attachés les uns que les autres à leur sport et/ou à leurs couleurs. De "belles rencontres"... professionnellement parlant bien sûr. Et parfois aussi de belles amitiés.

entrez dans la dimension RTC Sports...

Vous trouverez ci-dessous quelques reportages emblématiques qui ont marqué mon parcours... ou que j'avais juste envie de mettre en avant...

Et pour l'ensemble des productions sportives de RTC Télé Liège, n'hésitez pas à visiter la section sports du website de RTC, la page de l'émission RTC Sports pour en retrouver les rediffusions et celle de RTC Replay pour un retour sur les rencontres intégralement commentées ou la page Facebook RTC Sports !

Etsi vous voulez découvrir des sports, ne manquez pas la série RTC fait son sport où les journalistes ont donné de leur corps pour vous donner l'envie (du sport en question, hein...).  Et ne manquez pas la séquence sur la plongée, vous m'en direz des nouvelles...

fidèle parmi les fidèles

Dans le foot moderne, rares sont les joueurs qui font toute leur carrière au sein d'un seul et même club. Il y a Totti à la Roma, Giggs à Manchester United ou Puyol à Barcelone... mais tous ces joueurs emblématiques avaient auparavant évolué dans un premier club en catégories d'âge.
Mathieu Moor n'a peut-être pas joué au Bayern ou au Réal mais sa carrière est tout aussi remarquable : des diablotins à l'équipe première, il n'a porté qu'un seul maillot, celui du Stade Waremmien.

Portrait d'un clubman, espère devenue très rare dans le football, qu'il soit pro ou amateur.

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Ce reportage me tenait particulièrement à coeur et ce pour plusieurs raisons. Mathieu, c'est ma première interview en tant que reporter sportif (pour Vers l'Avenir à l'époque). Il débutait en équipe première et c'était mon premier match pour la rédaction sportive. Mathieu, c'est aussi quelqu'un d'attachant et de profondément humain : quoi qu'il se passe, il reste les pieds sur terre et a toujours une attention pour vous. Enfin, c'est un homme de valeurs, des valeurs telles que la fidélité, l'esprit de groupe et l'altruisme. Cela valait bien un reportage, non ? Autant dire que sur ce coup-là, je me suis tout particulièrement appliqué !

J'ai particulièrement apprécié vivre ce moment intense : un grand moment d'émotions à commenter cette belle victoire du Fémina Visé pour l'émission RTC Replay... et un résumé qui tente de les faire passer.

la coupe 2017 au fémina visé

Le lundi 17 avril 2017 au Sportoase de Leuven, le Fémina Visé jouait gros. Pour la première fois depuis une quinzaine d'années, le top club francophone féminin du handball avait loupé les play-offs et donc aussi le titre... C'est dire l'importance de cette finale de Coupe de Belgique. En un seul match, les Visétoises jouaient en quelque sorte leur saison car en cas de défaite, ce serait une campagne sans titre pour le club. En face, rien moins que le club en forme du moment, Saint-Trond : un cercle bien parti pour décrocher le titre de championnes de Belgique (ce qu'elles feront ensuite) et qui se voyait réaliser un premier doublé dans son histoire... La victoire du Fémina n'en est que plus belle !

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tout l'art de l'intro

A propos du Fémina Visé, j'en ai une autre à vous raconter...

Aaahh... l'originalité. Ce Saint Graal que l'on poursuit quand on "pense" un reportage. Et lorsqu'il s'agit d'une interview... comment introduire le sujet (en tout bien tout honneur bien sûr) sans tomber dans un classicisme trop évident.

Et quand on vous demande de le faire in situ, hors du studio, eh bien cela ouvre certaines perspectives dont on peut profiter. La charmante capitaine visétoise, Sabrine Masrouki, en a fait l'expérience...

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Alors celle-là, j'y ai réfléchi longtemps. J'ose.... j'ose pas ? Bon allez, j'ose... Sur place, j'ai juste dit à mon caméraman, Benoît Elsen : "Tu me fais confiance?"... et il m'a suivi. J'ai donné mes instructions aux filles dans le vestiaire, et tout était en place. On pouvait y aller...
Je n'avais rien dit à Olivier Jeuris, qui présentait RTC Sports à cette époque et qui m'avait demandé d'assurer cette interview qui n'avait pas pu être planifiée avec lui dans les studios. Le dimanche après-midi, juste avant l'émission, je reçois un SMS. C'était Olivier. "Benoît Fontaine, tu es un dieu !" J'ai ri... Je pense que mon intro lui a plu...

Bon, celui-là, on l'a un peu improvisé au terme d'une journée marathon... et comme par hasard avec le même complice que pour le précédent. Entre Benoît, on se comprend...

...et de la sortie !

Un reportage un peu hors normes, ça permet aussi de sortir un peu des sentiers battus, y compris dans la construction d'un reportage. C'est plus facile dans la présentation d'un trail que dans un résumé d'un match de foot, par exemple.

Et à propos d'exemple, justement, en voici un d'une manière originale et sympa de terminer un reportage...

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rencontres improbables

Il y a des reportages qui vous marquent pour leur déroulement, d'autres pour les personnes qu'ils vous donnent de rencontrer. Celui-ci... c'est les deux.

Ce portrait, jamais je n'aurais dû le tourner. Mais quand on vous appelle une heure avant pour vous dire qu'on est sans nouvelles du journaliste qui doit l'assurer, que sans ce sujet l'émission est compromises... et qu'on vous dit que la personne a fait venir son coach qui a fait une heure de bagnole et qu'ils sont prêts à patienter... ben vous prévenez la famille, vous sautez dans vos fringues et vous y allez...

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Et je ne l'ai pas regretté (d'autant que le journaliste a donné des nouvelles rassurantes pendant le tournage) car ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre un caractère pareil... quelqu'un qui vous dit qu'il a marché quatre jours et cinq nuits sur plus de 230 kilomètres en étant blessée depuis le départ juste pour la beauté du sport et qui trouve ça normal... à côté de certains qui se roulent par terre parce qu'on leur a soufflé dans le cou, ça remet certaines choses en place !